Expositions

L’automne se clôturera avec In Horto de Catherine Frossard, une fresque florale unique où l’artiste a peint plus de 900 aquarelles de plantes, capturant leur évolution au fil des saisons à partir d’un même jardin communautaire. Ce travail méticuleux allie observation botanique et sensibilité artistique, offrant une réflexion sur le cycle de la nature et du temps. Une visite du jardin en compagnie de l’artiste est prévue le 18 octobre pour approfondir cette immersion végétale.

Entre-Mondes met en dialogue les univers de Viviane Rombaldi Seppey et Monica Perez-Albela, qui explorent les réalités sensibles, mentales et changeantes de nos mondes. Rombaldi Seppey crée une forêt dystopique en sacs plastiques, tandis que Perez-Albela sonde la mémoire à travers des photomontages et une installation sonore. L’exposition interroge les frontières entre visible et invisible, intime et inconnu.

Tout Doit Disparaître est une exposition caustique explorant surconsommation, effondrement écologique et absurdité administrative. À travers vidéos, œuvres et performances déraisonnables, elle mêle comédie et tragédie. Conçue comme une célébration de la fin du monde, elle plonge le public dans l’univers d’Alain Bardet, où humour noir et dérision rythment 16 jours d’expériences immersives.

L’exposition Étendue liminale explore les seuils et transformations de la matière et de l’espace. Christel Voeffray interroge les rapports de pouvoir par le dessin et l’étain, tandis que Stefanie Salzmann transforme la laine en œuvres tactiles liées à la nature et à la mémoire. Leurs démarches dialoguent entre tangible et immatériel.

L’exposition « Jeu de pouvoir » réunit Léo Thiakos et Serge Cantero, explorant la manipulation politique et l’enfermement humain. À travers un accrochage qui éclaire autrement leurs œuvres, Le curateur Nicolas Marolf interroge notre perception du pouvoir dans une Europe en crise. L’exposition devient une résistance sensible face à une obscurité montante.

Avec Cerise Rossier

Le peintre explore les thèmes de la beauté, de l’innocence et de la mémoire à travers des techniques de peinture innovantes. Né à Korçë en 1993, Albi YZO combine l’héritage artistique de son pays natal (l'Albanie) avec des influences contemporaines, proposant ainsi une œuvre d’une grande richesse esthétique et émotionnelle.

Denise Eyer Oggier explore la peau comme un thème riche en possibilités créatives, à la fois physique et métaphorique. Il évoque la peau comme frontière entre protection et vulnérabilité, et comme un espace où se cachent des histoires codées de blessures physiques ou émotionnelles. L'auteur utilise la peinture pour représenter cette complexité, notamment à travers des techniques comme le sfumato pour souligner la subtilité des transitions et des transformations. 

Bernadette Gagliardi/Jean-Luc Torrent présentent une oeuvre contextuelle sur le thème de la peau.

Blanche est une création chorégraphique singulière en miroir avec le travail d’artistes plasticiens.

À travers différentes œuvres et techniques, notamment des installations immersives et interactives qui mêleront peinture traditionnelle et technologies numériques, cette exposition traitera de la thématique de l’imaginaire.

Immersion photographique à la croisée des chemins et des techniques où l’argentique et ses textures brutes côtoient un espace numérique sublimant les images et les choses.

Expatriée à Lausanne, Hélène Becquelin revient sur ses terres d'origine pour présenter Chroniques Palpiennes, son nouveau projet. Elle rencontre les habitants de Bruson en Valais, ses artisans locaux et les artistes du PALP Festival. Elle exposera aussi des œuvres de ses précédentes publications, comme 1979 et Colibri, comprenant de nombreux dessins de sa ville d'enfance, Saint-Maurice.

Avec Katia Zagoritis et Audrey Cavelius, nous proposons d’aborder  l’à fleur de peau, à fleur de peu à beaucoup, à fleur de corps,  d’objets n'étant plus des sujets,  de sujets n’étant  plus des objets,  affleurer l’espace du corps se dégageant, découvrons des possibilités de penser autrement à l’aide d’installation de céramique, de photographies et de vidéo.

Bien que travaillant dans des médias artistiques différents, Samuel Mathiss et Katty Tolleson partagent leur passion pour l'exploration des formes et de la beauté dans leur art.

Mettons de convenir que « voir », c’est avec les yeux, « regarder », c’est avec l’esprit .

Mon travail de peintre fait le va et vient entre voir et regarder

Le geste de sculpter crée l’espace entre la lumière et l’obscurité : le corps, le noir, le destin, la joie, le rouge, la douleur.

Comme la lune avale de la lumière chaque jour, quand sa rouille traverse l’espace, on se donne l’illusion peut-être d’avoir retranché un morceau à notre part d’ombre. NM.) Permettre la réunion de deux artistes dans un dialogue spatial et visuel nourrissant  l'amitié qui les lie depuis plus de dix-sept ans. (Nathalie Kücholl Bürdell)

Supprimer partiellement des objets trouvés au hasard de rencontres impromptues. Ainsi pour ces canettes de bière tombées sur la route, écrasées; ainsi pour ces livres oubliés des bibliothèques. En cuisant la matière, Yohei Nishimura nous laisse avec un concept mémoriel.

L’apparition du verre est née des scories. Impures, opaques et colorées comme une traduction du monde et de son histoire.

En collaboration avec la Fondation Atelier d’artiste et son Conservateur Walter Tschopp, nous proposerons les créations de Mario Masini, peintre, « Tournée d’Adieu ». + Le contrepoint de Thérèse Martin.

Avril-novembre, 4 expositions.